
Allez, zou, fin de la trilogie Saevus Corax. Pour faire court : c’est toujours du K.J. Parker, avec ses forces, son style, sa mécanique huilée, dans la droite ligne des deux précédents. De manière tout à fait prévue, K.J. Parker pousse dans ses retranchements la mécanique humaine et politique construite dans les deux tomes précédents, et ses personnages dans leurs retranchements. De manière particulièrement brutale, d’ailleurs, ce qui est aussi lié au fait que c’est une histoire de famille (dégueulasse et toxique). Toujours plein de bonnes idées et de constructions chouettes, et toujours des personnages féminins qui ne finissent jamais vraiment bien (enfin, surtout dans ce que ça dit sur elles, même si en général elles finissent mal tout court).J’aime toujours beaucoup K.J. Parker, mais je continue à penser que, tant qu’à faire, il pourrait ne pas mettre de personnages féminins et que ça y gagnerait clairement.