170319_Art_Conter_collectif

Ce petit essai s’attaque à une question qui me semblait essentielle a priori : l’enjeu de se réapproprier la capacité de raconter nos histoires collectives et des contre-histoires (militantes, populaires, etc., bref en résistance au storytelling dominant). J’en sors d’autant plus convaincu et avec même quelques pistes de travail. Pour autant, je ne suis pas entièrement convaincu du format. Pour tout dire il y a même une moitié, plus ou moins la première que je n’ai pas trouvée très utile. En effet, il s’agit d’un travail de recherche et la première moitié décrit le cadre théorique, les grandes définitions et la méthodologie employée. Les définitions me semblent un peu utiles, encore qu’elles servent assez peu ensuite mais le reste beaucoup moins. Sans doute parce qu’au vu du propos développé ensuite, je n’avais pas tellement besoin de justifications quant à la manière dont il a été élaboré. Le propos est pour le coup efficace : à partir d’exemples variés (et documentés, ce qui donne des références à aller explorer) montrer l’impact interne et externe de récits composés à partir de traces d’expériences collectives. Et donner des pistes quant à la manière de le faire. Des pistes seulement, ceci dit, ce qui me laisse sur ma fin. Mais bon, vu la taille de l’essai, c’est déjà vraiment bien d’en sortir convaincu, avec un argumentaire structuré et politique, et des pistes de mise en action. En gros, c’est un bon point d’entrée pour se mettre au boulot sur le sujet. Pour réfléchir à l’importance et aux enjeux de la question. Maintenant, il me reste à trouver par où continuer…