Chroniques poulpesques, rupestres et motardes.

J’avais pas besoin d’être convaincu mais ça fait des billes en plus :

Ah, les moyens de l’indépendance (partielle) pour le net :

Je ne suis jamais très convaincu de ces dénominations générationnelles mais le contenu est assez intéressant :

Après, reste la question de la production/consommation d’électricité, mais n’empêche :

C’est sur, vaut mieux que ça reste autonome :

C’est simple et direct, hop :

leirn dit :

septembre 25, 2011 à 9:16

A propos de l’article intéressant de Michel Serres :
« Nous n’avons pas la moindre idée de ce que les habitants de notre futur seront. A ce sens, nous n’avons aucun futur. Pas comme nos grands-parents en avaient un, ou pensaient en avoir un. Les futurs culturels entièrement imaginables sont un luxe révolu. Ils datent d’une époque ou « maintenant » durait plus longtemps. Pour nous, bien sûr, les choses peuvent changer si brusquement, si violement, si profondément que les futurs comme celui de nos grands-parents n’ont plus assez de maintenant pour s’établir. Nous n’avons aucun futur parce que notre présent est volatil. Nous nous contentons de limiter la casse. De faire tourner les scénarios du moment. Identification des schémas. »

William Gibson (2003), identification des schémas

Réponse

Chroniques (SEb)